• Bien le bonjour ! Vous l’attendiez, vous ne l’attendiez pas, peu importe, il est là. Je suis là. Il est temps pour votre humble serviteur d’inaugurer le blog. Duvisuel, de la poésie, de la grande poésie, des mélodies douces pour vos tendres soirées et vos après-midi pluvieux, et beaucoup de bonne humeur. Voilà ce qui vous est réservé en ces lieux modestes. Ici, nous jouons avec les mots, nous dansons avec la langue, nous gribouillons, nous gratouillons. Nous jubilons. Nous jouons. Vivre, c’est exister. Exister, c’est créer.

    Même mal, mais créer. Faire. Comme l’a un jour dit une grande dame : « Je vous en supplie, faites quelque chose de votre vie. Apprenez un pas, une danse, quelque chose qui vous justifie, qui vous donne le droit d’être habillé de votre peau, de votre poil, car ce serait trop bête à la fin, que tant soient morts, et que vous viviez sans rien faire de votre vie. » Charlotte Delbo a trouvé les mots justes. Ces mots ont résonné dans mon être, puissent-ils résonner en vous de la même manière.

    Je joue, je dessine, j’écris, je compose, j’écris encore, je joue toujours, la scène, le théâtre, l’amour de tout cela, l’amour du plateau, l’amour du faire,l’envie, le jeu, la plaisanterie sérieuse comme disait mon professeur. Je ne sais pas où je vais, mais j’y fonce tête baissée. Une guitare dans les mains, un stylo dans l’autre, et un corps sous la lumière, un corps à la disposition du texte, un texte à la disposition de mon corps, de mon esprit, de mon imaginaire, et mon imaginaire au service du texte. Un corps aussi à la disposition des jeunes demoiselles (envoyez-moi un message privé pour quelques galipettes dans les champs de cotons pour briser la solitude). Pouet. Un vaste champ où se rencontrent Pierre Desproges, Charles Beaudelaire, George Perec, Mia Wallace, Hank Moody et Peter Parker.

    C’est chez moi. Chers amis, je vous souhaite la bienvenue. Let’s rock, et vivent les Pokémon.


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