• Bien le bonjour ! Ce week-end, cette « fin de semaine » comme ils le disent si bien là-bas, c’est une troisième compo que je dévoile au grand jour sous vos yeux illuminés et déglingués par le chlore des piscines municipales. Troisième compo, pas tout à fait. Certains le savent, il s’agit en réalité de ma première. J’ai quelques soucis avec la chronologie. Quoi qu’il en soit, on reste dans le thème de l’enfance. Cette chanson, je souhaiterais la dédier à tous ceux, toutes celles, qui ont eu à souffir de cet énorme fléau qui nous tombe sur la gueule à un virage de la vie… Pour tous les grands frères et toutes les grandes soeurs du monde. La qualité sonore laisse à désirer, j’espère que vous l’apprécierez quand même. Et embrassez vos petites soeurs pour moi, elles le méritent, et parce qu’on les aime quand même. Pouet.


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  • Bien le bonjour ! Ca y est, les fauves sont lâchés. Les vacances d’été sont entammées. Nos campagnes jusqu’alors tranquilles sont maintenant le théâtre sanglant de leurs voix criardes, de leurs rires insupportables, de leur foutue joie de vivre, de leur innocence inconsciente que leur vie est déjà ratée. Les rejetons de l’Enfer ont posé leurs cartables et envahissent nos rues. Je hais les enfants. Ils puent, ils sont moches, ils portent des microbes, et sont heureux. Rien de pire qu’un gosse heureux. Brrrrr. Pouet. Placée sous le signe de l’amour et de la pureté, cette deuxième composition de mon cru a rencontré un franc succès au grand Congrès International de l’Enfance de mes sarcasmes. Je ne vous en dévoilerais pas plus, je pourrais m’en prendre plein les dents. Je vous laisse écouter, et n’hésitez pas à faire tourner, vous serez des anges.


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  • Bien le bonsoir ! En ce début de semaine ensoleillé, je vous propose une petite douceur pour satisfaire vos envies musicales estivales. Ce 21 Juin dernier, la musique fût à l’honneur à travers le pays, l’occasion pour nous de taper quelques notes et percussionner un peu sur quelques chansons, lors du concert de mon ami, Alexis Moser, au siège du PCF à Rouen. Rigide Facho est une composition « engagée et engageante » d’Alexis, dont l’album est aujourd’hui disponible. Un peu de politique, beaucoup de bière, et une bonne dose d’enthousiasme. Le rendu sonore rend la prestation de votre serviteur plutôt discrète, mais mes mains s’en souviennent. Pour plus d’informations sur l’album d’Alexis Moser, je vous invite à vous rendre sur sa page Facebook. Bonne écoute à tous !


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  • Bien le bonjour ! Ouverture du blog, première vidéo. Première composition. Petite précision que je me dois tout de même de faire : je ne suis ni musicien, ni chanteur. Ce sont avant tout les textes que je veux mettre en avant dans mes vidéos. Voilà, c’est dit, et je ne me répèterai pas, sinon je m’énèrve, et quand je m’énèrve, j’encule, comme disais mon ami Pierre D. Pouet. Nous allons ensemble rendre hommage à ces héros de notre enfance, et, pour ma part, à mes héros tout court. Certains d’entre vous le savent peut-être, mais je suis un grand amateur de comics, particulièrement Spider-man. Voilà pour la petite anecdote. J’ai donc voulu écrire une chanson sur ces sur-hommes, sur ces sauveurs prêts à en découdre coute que coute avec de terribles méchants dans des aventures extraordinaires qui font vibrer notre imaginaire et valvuler notre désir du Bien. Car au fond de nous, nous voudrions tous acquerir des super-pouvoirs suite à un accouplement avec une belette de Normandie, et rejoindre le rang de ces mythes qui ont bercé, et bercent encore, les êtres inutiles, banals, et misérables que nous sommes. Pouet. Et vous, quels pouvoirs rêveriez-vous de posséder ? Pour ma part, et je le dis sincèrement, ce serait le contrôle absolu du temps. En effet, qui n’aurait pas vendu son chien pour arrêter le temps et tout explorer en tout impunité…


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  • Bien le bonjour ! Vous l’attendiez, vous ne l’attendiez pas, peu importe, il est là. Je suis là. Il est temps pour votre humble serviteur d’inaugurer le blog. Duvisuel, de la poésie, de la grande poésie, des mélodies douces pour vos tendres soirées et vos après-midi pluvieux, et beaucoup de bonne humeur. Voilà ce qui vous est réservé en ces lieux modestes. Ici, nous jouons avec les mots, nous dansons avec la langue, nous gribouillons, nous gratouillons. Nous jubilons. Nous jouons. Vivre, c’est exister. Exister, c’est créer.

    Même mal, mais créer. Faire. Comme l’a un jour dit une grande dame : « Je vous en supplie, faites quelque chose de votre vie. Apprenez un pas, une danse, quelque chose qui vous justifie, qui vous donne le droit d’être habillé de votre peau, de votre poil, car ce serait trop bête à la fin, que tant soient morts, et que vous viviez sans rien faire de votre vie. » Charlotte Delbo a trouvé les mots justes. Ces mots ont résonné dans mon être, puissent-ils résonner en vous de la même manière.

    Je joue, je dessine, j’écris, je compose, j’écris encore, je joue toujours, la scène, le théâtre, l’amour de tout cela, l’amour du plateau, l’amour du faire,l’envie, le jeu, la plaisanterie sérieuse comme disait mon professeur. Je ne sais pas où je vais, mais j’y fonce tête baissée. Une guitare dans les mains, un stylo dans l’autre, et un corps sous la lumière, un corps à la disposition du texte, un texte à la disposition de mon corps, de mon esprit, de mon imaginaire, et mon imaginaire au service du texte. Un corps aussi à la disposition des jeunes demoiselles (envoyez-moi un message privé pour quelques galipettes dans les champs de cotons pour briser la solitude). Pouet. Un vaste champ où se rencontrent Pierre Desproges, Charles Beaudelaire, George Perec, Mia Wallace, Hank Moody et Peter Parker.

    C’est chez moi. Chers amis, je vous souhaite la bienvenue. Let’s rock, et vivent les Pokémon.


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